Le vice-président du haut comité chargé des réformes institutionnelles Ahmat Mahamat Hassan a présidé le mardi 16 mai au secrétariat général du gouvernement une rencontre de concertation avec les membres du comité technique et les opérateurs économiques.  D’entrée de jeu, le vice-président du haut comité chargé des reformes institutionnel a mentionné que le comité voudrait revisiter le cadre institutionnel légal qui est la constitution pour promouvoir ce qu’il faut apporter comme mécanisme institutionnel reflétant les réalités du Tchad et la prise en compte des inspirations de sa population. « L’une des missions du haut comité était de commencer après la réflexion, le travail de balisage, de compilation des témoignes et d’archive et de document reflétant l’histoire institutionnelle du Tchad. Il faut pour rendre vivable, légitimé le travail et le rendre consentielle. » A relevé le vice-président du haut comité chargé des reformes institutionnel Ahmat Mahamat Hassan. Et pour parvenir à ce résultat il faut commencer par consulter toutes les couches du pays ajout-il. Dire à l’assistance qu’il constitue le pilier économie du pays, il s’est interrogé sur la forme de l’État (fédéral, décentralisé) d’institution (assemble nationale à chambre, une seule chambre) sur la taille de la représentation nationale (nombre des députés, des sénateurs), la forme d’institution judiciaire, et sur les droits et obligations des citoyens à inclure que ce dernier souhait pour le Tchad.  La toute rencontre a porté essentiellement sur la réforme de l’état et a vu la présence de la chambre de commerce, le patronat et les associations des établissements des crédits.